CLASSES OLYMPIQUES RIOise 2016

Publié par eugene cauchois

D'autres infos 100% Classes Olympiques 2016

 

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CLASSES OLYMPIQUES RIOise 2016

Cette fois, le 13 juin, c'était au tour des élèves de CM et de 6ème des Classes Olympiques Oise de se retrouver pour les olympiades. Sous un ciel incertain, mais avec beaucoup de bonne humeur et de plaisir, les élèves ont participé à 13 activités sportives : hand, basket, vtt, tir à l'arc, sarbacane, athlétisme, boccia, questionnaire olympique...

Après une cérémonie d'ouverture avec les différents discours et serments des athlètes et des officiels, la présentation des anneaux et l'allumage de la flamme, c'ets Vinicius, la mascotte des JO de RIO 2016 qui est venue saluer les équipes.

En fin de journée, les athlètes présents Maeva Contion, 400m haies, Thierry Guibault, course à pied, Arélie Scellier, bowling handisport, Christopher Patte, pentathlon moderne, Lucien Courtillon, médaillé d'or paralympique au tir à l'arc et Josette Merkez, championne paralympique d'escrime, ont remis coupes et médailles aux champions en herbe !

Merci à eux, aux parents, aux officiels du mouvement sportif, à la municipalité de Monchy St Eloi, aux élus, aux services techniques et aux enseignants.

CLASSES OLYMPIQUES RIOise 2016
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JOURNEE OLYMPIQUE DU 26 MAI

Le jeudi 26 mai, 150 élèves des écoles Cauchois et Clos St Paul de Monchy et Jean Cassé de Thiverny se sont retrouvés pour une journée d'olympiades encadrés par 40 élèves de CM1CM2.

Après un travail effectué en classe tout au long de l'année sur les Jeux Olympiques et la rencontre de plusieurs athlètes place à la pratique.

Les jeunes champions ont pu participer à 13 épreuves sur la journée : course de vitesse, course de haies, saut en longueur, triple saut, lancer de javelot, lancer précis, handball, tir à l'arc, sarbacane, cross, saut à la corde, épreuve artistique et lancer de poids.

Après une cérémonie d'ouverture avec le défilé des équipes et la lectures de petits textes sur l'olympisme écrit par les élèves, le coup d'envoi a été lancé pour une belle journée sportive.

Durant la pause de midi, c'était tombola avec de nombreux lots sportifs offerts par les partenaires de la journée, pour les enfants et les adultes présents.

Pour clôturer cette journée, un petit goûter a été offert par l'école de Thiverny avant la remise des médailles offertes par l'Association des Parents d'élèves de Monchy St Eloi, des coupes et de nombreux lots du Comité Olympique et des fédérations olympiques.

Maeva Contion et Thierry Guibault, les parrains du projets, étaient présents pour encourager et récompenser les élèves. Thierry Guibault a même fait venir la patrouille de France dans le ciel monchyssois pour la cérémonie de clôture.

Après une petite séance photos et dédicaces, place au rangement qui s'est fait rapidement grâce à l'aide des élèves et de nombreux parents !

Merci à tous pour cette journée et rendez-vous le 13 juin pour l'olympiade CM-6ème.

 

CLASSES OLYMPIQUES RIOise 2016
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Pour la 3ème fois, les classes olympiques de l'Oise prennent la route du plus grand événement sportif mondial.

En 2016, les Jeux Olympiques se dérouleront à Rio au Brésil en août, c'est à nouveau l'occasion de faire découvrir à nos élèves les valeurs et l'histoire de l'olympisme ainsi que des pratiques sportives originales.

Notre objectif est également de mobiliser nos élèves pour soutenir la candidature de Paris aux JO de 2024 !

Suivez nous sur ce projet tout au long de l'année et n'hésitez pas à nous proposer votre aide !

Retrouver aussi les publications facebook des "classes olympiques de l'Oise"

DECOUVREZ LES DISCIPLINES OLYMPIQUES AUX JEUX DE RIO 2016

 

PETITES LECONS SUR LES DISCIPLINES OLYMPIQUES

 

ATHLETISME

 

L’athlétisme est la discipline vedette des Jeux Olympiques, ses épreuves sont présentent depuis les Jeux de l’antiquité.

En athlétisme, il suffit d’atteindre les 3 objectifs de la devise olympique : citius, altius, fortius.

Plus vite, pour les courses, plus haut (et plus loin), pour les sauts, et plus fort (donc plus loin) pour les lancers.

Les distances des courses vont de 100m à 42km195m (distance du marathon), avec des courses de haies, des relais et du steeple (haies plus rivière). Il y a aussi de la marche sur 20 ou 50km.

La course la plus attendue est celle du 100m : qui réussira à battre Usain Bolt ?

Les sauts se font en longueur pour le saut en longueur, logique, et le triple saut ou en hauteur pour le saut en hauteur, logique, et le saut à la perche.

On lance le poids, le disque, le javelot et le marteau, bizarre.

Du côté des français on compte sur :

  • Renaud Lavillenie en saut à la perche
  • Jimmy Vicaut sur 100m
  • Pascal Martinot-Lagarde sur 110m haies
  • Maeva Contion sur 400m haies
  • Floria Guei et Marie Gayot sur 400m
  • Kevin Mayer pour le décathlon…

 

AVIRON

 

L’aviron se pratique aux Jeux Olympiques seul, à 2, à 4 ou à 8.

Avec une rame par athlète, en pointe, ou deux rames, en couple et avec ou sans barreur (qui dirige et donne le rythme aux rameurs).

Il y a deux catégories de poids, léger (- de 72,5kg pour les hommes et – de 59kg pour les femmes) ou toutes catégories.

La distance des courses est de 2000m.

Edwige Alfred du club de Creil a été la marraine des classes olympiques 2012, elle a remporté plusieurs médailles aux championnats du monde d’aviron de mer.

Les 2 légendes de l’aviron sont la roumaine Elisabeta Lipa qui a remporté 8 médailles, dont 5 en or, entre 1984 et 2004 et Steve Redgrave, l’anglais, avec 5 médailles d’or et 1 en bronze entre 1984 et 2000.

 

BADMINTON

 

Présent aux JO depuis 1992, le badminton est un sport de raquettes inventé par les anglais vers 1600.

L’objectif est en défense de maintenir un volant en l’air le plus longtemps possible, et en attaque d’amener le volant au sol dans le camp adverse.

Le match se joue en 2 sets gagnants de 21 points.

Le badminton se joue en simple, en double ou en double mixte (depuis 1996).

Le volant pèse entre 4,74 et 5,5 gr et il est composé de 16 plumes gauche d’oie !

Ce sport est largement dominé par la Chine qui a remporté 38 médailles aux JO.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

BASKET BALL

 

L’histoire dit que pour occuper ses élèves, un professeur de sport canadien installé aux USA aurait installé une poubelle en hauteur et aurait demandé à ses élèves d’envoyer un ballon dedans, en 1891 : c’est la naissance de « la balle au panier » : le basket ball !

Au basket, 2 équipes de 5 joueurs s’affrontent durant 4 périodes de 10 minutes et marquent des points quand le ballon traverse l’anneau du panier situé à 3,05m : 2 points, 3 points quand le joueur est en dehors de la raquette, donc au moins 6,75m du panier et 1 point quand il s’agit d’un essai franc, genre de pénalty.

Le basket ball est aux JO depuis 1936 pour les hommes et 1976 pour les femmes avec une nette domination des USA : 14 médailles d’or chez les hommes sur 17 possibles et 7 sur 10 pour les femmes !

Les JO de 1992 resteront dans les mémoires avec la victoire de la dream team américaine de Michael Jordan, Magic Jonhson, Charles Barkley, Scottie Pippen… les pères du basket moderne.

 

 

LA BOXE

 

Si durant les Jeux Antiques il y avait déjà des disciplines de combat comme le pugilat, ce n’était pas de la boxe.

La boxe arrive aux JO en 1920.

Il y a 10 catégories de poids chez les hommes et 3 catégories chez les femmes (depuis 2012 !).

Le port du casque est obligatoire et seuls les boxeurs amateurs peuvent combattre.

Pour la boxe masculine, le combat se déroule en 3 rounds de 3 minutes et en 4 rounds de 2 minutes pour la boxe féminine.

5 juges sont répartis autour du ring et comptent les points : chaque touche au-dessus de la ceinture donne 1 point.

Dans les combats serrés, les décisions des arbitres sont souvent discutées…

Brahim Asloum est le dernier français médaillé d’or à Sydney en 2000. Il passera professionnel en 2001 et deviendra champion du monde en 2007 et 2009.

 

 

LE CANOE KAYAK

 

2 disciplines sont au programme :

  • La course en ligne : sur 200, 500 ou 1000m, avec 1, 2 ou 4 rameurs. En canoë on est à genoux et on rame d’un seul côté. En kayak on est assis et on utilise une pagaie double.
  • Le slalom : il faut franchir 18 à 25 portes sur 300m en respectant le sens de passage. Le parcours se déroule sur 2 manches cumulées avec des pénalités possibles. L’épreuve se pratique en canoë double ou en kayak individuel.

Tony Estanguet a remporté 3 médailles d’or : en 2000 en 2004 et en 2012 après un échec en demi-finale en 2008 ! Depuis 2015, il représente la France au CIO.

 

 

LE BMX

 

C’est une discipline très récente aux jeux, elle est au programme depuis 2008.

L’épreuve olympique est un supercross : sur un parcours de 403m pour les femmes à 470m pour les hommes, 8 coureurs font une course avec des bosses, des sauts, des virages serrés…

Les 4 premiers sont qualifiés pour le tour suivant jusqu’à la finale avec 8 coureurs.

Discipline très spectaculaire, elle apporte un peu de folie dans les épreuves olympiques avec son côté jeune, fun et ses chutes, un peu comme le skicross en hiver !

 

 

 

 

 

LE VTT

 

C’est la dernière discipline du cyclisme à être entrée dans les Jeux Olympiques en 1996.

Les participants doivent réaliser un certains nombre de tours d’un circuit sur une durée d’environ 1h30 soit 40 à 50km pour les hommes et entre 30 et 40km pour les femmes.

Le parcours est semé d’embûches avec de fortes montées, des descentes très techniques, des passages sinueux, des cailloux, du sable…

Le français Julien Absalon a dominé la discipline entre 2000 et 2012, il a remporté l’or olympique en 2004 et 2008 et a dû abandonner en 2012 en raison d’une crevaison.

Du côté des filles, on pourra compter sur Julie Bresset championne olympique 2012 et Pauline Ferrand Prévot championne du monde 2015.

 

 

CYCLISME SUR PISTE

 

Cette discipline impressionnante nécessite énormément de puissance et de tactique.

Elle se dispute sur une piste ovale avec des virages inclinés.

Les vélos sont conçus pour aller vite, il n’y a ni frein ni vitesse.

Il existe plusieurs épreuves :

  • La vitesse individuelle : 2 coureurs partent ensemble à l’arrêt, le gagnant est celui qui effectue 2 ou 3 tours de piste le 1er. Il faut gagner 2 manches sur 3 pour passer au tour suivant jusqu’à la finale.
  • La vitesse par équipe : 2 équipes de 3 coureurs s’affrontent en partant à l’opposé l’une de l’autre. L’équipe qui termine la 1ère les 3 tours de piste gagne.
  • Le keirin : 6 et 8 coureurs se disputent la victoire sur une distance de 2km en suivant une moto sur les 1400 1ers mètres qui va rouler de 30 à 45km. Il reste donc un sprint de 600m !
  • La poursuite par équipe : comme pour la vitesse 2 équipes de 4 partent à l’opposé. Il faut franchir 4000m pour les hommes et 3000m pour les femmes en effectuant des relais entre les coureurs.
  • L’omnium : 6 épreuves en 2 jours pour marquer le plus de points possibles. Le tour lancé, la course au point, l’élimination, la poursuite, le scratch et le kilomètre contre la montre.

La France est une grande nation du cyclisme sur piste avec actuellement Bryan Cocard ou Gregory Baugé.

 

CYCLISME SUR ROUTE

 

Actuellement il y a 4 épreuves sur routes aux JO, 2 pour les hommes et 2 pour les femmes :

  • Une course de 250km pour les hommes et 140km pour les femmes.
  • Un contre la montre d’environ 32km pour les filles et 46km pour les garçons.

La France n’a pas gagné de médaille depuis 2000 dans cette discipline.

Jeannie Longo a remporté 4 médailles olympiques entre 1992 et 2000 aussi bien dans l’épreuve en ligne qu’en contre la montre.

 

 

L’ESCRIME

 

L’escrime fait partie des 4 sports présents aux JO depuis 1896.

L’escrime se pratique avec 3 armes différentes : le fleuret, l’épée ou le sabre.

La validation des touches est différente en fonction de l’arme :

  • Avec le fleuret il faut toucher le tronc de l’adversaire avec la pointe.
  • Avec l’épée on peut toucher tout le corps avec la pointe.
  • Avec le sabre on peut toucher avec la pointe, le tranchant ou le dos de la lame au-dessus de la ceinture.

Les tireurs (escrimeurs) sont « connectés » à un système électronique qui indique les touches marquées.

Les épreuves individuelles se déroulent en trois temps de trois minutes, ou jusqu´à ce que le tireur arrive à toucher l´adversaire 15 fois.

Dans les rencontres par équipes, les trois tireurs de chaque équipe se remplacent à tour de rôle, l’équipe gagnante est la première à 45 touches.

LE FOOTBALL

 

Le sport le plus populaire du monde fait partie des disciplines olympiques depuis 1908.

Le foot féminin est au programme depuis 1996.

Le foot masculin est réservé aux joueurs de moins de 23 ans à l’exception de 3 joueurs par équipe.

Pour les femmes, il n’y a pas de limite d’âge.

16 nations sont présentent chez les hommes et 12 chez les femmes.

Le tournoi se déroule comme lors d’une coupe du monde avec des matchs de poules puis des matchs à élimination directe.

 

 

 

LE GOLF

 

C’est la dernière discipline à rejoindre le programme olympique après une première participation en 1904.

30 nations participeront au tournoi masculin et féminin.

Le circuit doit faire 72 trous. Le joueur qui réalise le plus petit nombre de coups remporte le tournoi.

 

 

LA GYMNASTIQUE

 

La gymnastique est présente aux Jeux dans 3 disciplines.

 

Le trampoline, compétition individuelle programmée depuis 2000 à Sydney.

Chaque participant réalise un enchaînement de dix figures, dont des sauts simples, doubles et triples avec ou sans pirouettes. Les mouvements sont évalués par un jury qui attribue des notes en fonction de la difficulté et de la précision de chaque présentation, les gymnastes pouvant atteindre une hauteur de dix mètres au-dessus du trampoline. Chaque erreur commise retire des points au score final.

 

La gymnastique artistique. Le programme masculin comprend des épreuves au sol, le saut de cheval, les barres fixes, les barres parallèles, le cheval d´arçons et les anneaux. Pour les femmes, les épreuves sont la gymnastique au sol, le saut de cheval, les barres asymétriques et la poutre.

La première étape de la compétition est qualificative et tous les gymnastes y participent. A l’issue de cette étape, les huit premiers pays vont en finale par équipe. Chaque équipe est composée de trois gymnastes qui s’affrontent à nouveau sur tous les appareils. La somme finale des points détermine le podium.

Les 24 meilleurs participants de la compétition générale (maximum deux par pays) sont admis à la finale individuelle, dans laquelle les gymnastes se présentent sur tous les appareils.
Les points sont attribués par neuf juges qui évaluent le degré de difficulté et la qualité des mouvements exécutés dans chaque épreuve. Les points correspondant aux erreurs sont soustraits du score final. 

 

La gymnastique rythmique. Depuis 1956, la gymnastique rythmique est un mélange de mouvements et de danse. Dans un tournoi individuel, chaque gymnaste se présente sur une surface de 13 x 13m à l’un des cinq engins d’adresse : corde, ballon, cerceau, ruban et massues. La gymnaste qui obtient le plus grand nombre de points remporte l´or.

La même règle s’applique aux épreuves par équipes, dont chacune compte cinq gymnastes. Chaque équipe présente deux enchaînements. La phase qualificative par équipes commence par la présentation avec cinq ballons. À la phase suivante, les athlètes utilisent le ruban et le cerceau. La somme des points des deux enchaînements définit les huit équipes qui se disputent le podium, et qui doivent se présenter deux fois de plus.

Trois jurys composés de quatre juges chacun évaluent la présentation dans les catégories suivantes : technique, exécution et artistique. Pendant les enchaînements, les engins et les gymnastes doivent être constamment en mouvement.

 

 

 

 

L’HALTEROPHILIE

 

La compétition a lieu sur une plateforme de 4x4 mètres de diamètre.

L´haltérophilie consiste en deux épreuves : l´arraché et le l´épaulé-jeté.

A l'arraché, les haltérophiles doivent soulever la barre au-dessus de leur tête bras tendus en un seul mouvement. Une fois la barre levée, l’athlète doit garder les bras tendus, tout en restant équilibré pendant deux secondes, ensuite les arbitres donneront un signal lui permettant de laisser tomber la barre. 

Dans l'épaulé-jeté, il y a deux mouvements : l’athlète doit soulever la barre jusqu'aux épaules, se redresser, puis jeter la barre à hauteur de bras au-dessus de sa tête, tout en gardant les bras tendus jusqu´au signe donné par l´arbitre.

Dans toutes les épreuves, l'athlète a droit à trois essais, pour lever le plus de poids possible.

Le champion est celui qui totalise le plus de points au combiné.

 

 

 

LE HANDBALL

 

Ce n’est qu’en 1952 que la discipline arrive aux Jeux à Helsinki en opposant 2 équipes de 7 joueurs après un passage aux JO de Berlin en 1936 en 11 contre 11 sur terrain de football extérieur.

Le terrain de Handball mesure 40 x 20 mètres, et les buts 3 x 2 m. Chacun des buts est entouré d’une zone de 6m que seul le gardien du but peut occuper. Pour faire des buts, les joueurs doivent lancer le ballon au-delà de cette ligne, ou la toucher.

Ils peuvent utiliser les mains et les bras pour passer le ballon, qui ne peut toucher une partie du corps inférieure aux genoux.

Une fois que le joueur a le ballon, il peut le garder pour un maximum de trois secondes et faire trois pas.

Les matchs durent deux mi-temps de 30 minutes chacune.

Aux Jeux Olympiques, le format des épreuves pour les hommes et pour les femmes est identique : les 12 pays participants de chaque compétition sont divisés entre deux groupes de six, et tous se confrontent dans les groupes. Les quatre meilleurs avancent à la prochaine étape, éliminatoire, et les meilleurs de chaque côté disputent l´or. Les perdants aux demi-finales se disputent la médaille de bronze.

L’équipe de France a commencé sa moisson de médailles olympiques en 1992 avec une 3ème place des « Barjots » à Barcelone avant de remporter l’or à Pékin en 2008 et à Londres en 2012 avec les « Experts » de Nikola Karabatic, Thierry Omeyer et Luc Abalo…

 

 

 

LE HOCKEY

 

Le terrain de hockey sur gazon a 91,40 de long sur 55 mètres de large, un peu moins qu’un terrain de football, et le match de hockey est constitué de quatre périodes de 15 minutes avec des pauses de 2min entre chaque période et une mi-temps de 10 minutes.

 Les joueurs utilisent une crosse en carbone, en Kevlar et en fibre de verre.

 Les équipes se composent de 11 joueurs dont un gardien de but. Celui-ci défend une zone de 2,14m de haut sur 3,66m de long. 

L´objectif est de marquer le plus grand nombre de buts qui ne seront valables que s´ils sont marqués à partir de la zone « de tir », un rayon de 14,63m.

Si l’Inde a dominé la discipline entre 1928 et 1980, on retrouve surtout l’Allemagne, les Pays-Bas et l’Australie sur les podiums depuis 1988.

 

 

 

 

 

 

LE JUDO

 

 Le judo a intégré les Jeux Olympiques en 1964 à Tokyo, mais n’était pas présent en 1968 à Mexico.

Il a cependant été réintégré en 1972, à Munich. Les femmes ont commencé à participer lors des Jeux en 1992, à Barcelone. 

Il y a, à présent, sept catégories de poids à la catégorie masculine : moins de 60 kg, moins de 66 kg, moins de 73 kg, moins de 81 kg, moins de  90 kg, moins de 100 kg et plus de 100 kg. De la même façon, le sport féminin est répartit par catégorie de poids : moins de 48 kg, moins de 52 kg, moins de 57 kg, moins de 63 kg, moins de 70 kg, moins de 78 kg et plus de 78 kg.

Le combat dure jusqu'à cinq minutes pour les hommes et jusqu'à quatre minutes pour les femmes, l’objectif est de projeter l´adversaire par terre sur le dos, pour réussir une clé, un étranglement ou immobiliser l’adversaire à même le sol.

La lutte peut se terminer à tout moment si un des judokas marque un ippon, qui est accordé pour une projection puissante et rapide de l´adversaire sur le dos et se termine par une clé de bras, un étranglement, ou encore une prise maintenue pendant 20 secondes.

Des pénalités peuvent être attribuées pour manque de combattivité.

Un judoka peut être disqualifié sur le champ pour indiscipline ou s’il met en danger l´intégrité physique de l´adversaire.

En cas d’égalité, le combat est prolongé par une période dite de « golden score » dans laquelle le premier joueur à marquer un avantage remporte le combat. Si l’égalité continue, la décision sera prise par les arbitres. 

La France rivalise avec le Japon avec 47 médailles obtenues depuis 1972. Cette année encore on attendra la prestation de Teddy Riner médaille d’or en 2012 et 8 fois champion du monde en plus de 100kg !

 

 

LA LUTTE

 

On retrouve la lutte gréco-romaine et la lutte libre aux JO.

Dans la lutte gréco-romaine, l’objectif est d’amener les épaules de l’adversaire au tapis, en utilisant seulement les bras et le haut du corps. Les six catégories sont divisées par poids, et vont de 59 kg pour le plus léger, jusqu´à 130kg pour le plus lourd. Il n´y a pas d’épreuves féminines dans cette discipline.

Les combats se déroulent sur un tapis synthétique de 12 x 12m, mais la zone de combat mesure 9m de diamètre. Chaque match est disputé au meilleur de trois périodes de deux minutes chacune. Si aucun des lutteurs ne parvient à plaquer son adversaire le dos au sol, la décision est prise par les juges qui donnent des points en fonction des coups portés par chaque lutteur.

La compétition se déroule au système éliminatoire simple et les deux vainqueurs de chaque groupe s’affrontent pour la médaille d´or.

La lutte libre est un style complet dans lequel il n´y a pas de restrictions quant à l’utilisation des parties du corps pour faire tomber ou immobiliser l’adversaire.

Dans la lutte libre, les lutteurs sont autorisés à utiliser leurs bras et leurs jambes et peuvent saisir l’adversaire en dessous de la ceinture.

 

LA NATATION

 

La natation est une discipline qui exige vitesse, endurance et force. Le nageur le plus rapide remporte l´épreuve.

Les épreuves sont divisées par distance (50, 100, 200, 400, 800 et 1 500m) et par style (nage libre, dos, brasse et papillon).

En plus des courses individuelles, il y a des relais par équipe, dont chacun est composé de quatre nageurs.

La piscine mesure 50 mètres de longueur, 25m de largeur et 3m de profondeur. Elle est divisée en dix couloirs, dont seuls huit sont utilisés. Chaque épreuve compte des éliminatoires qui qualifient les huit meilleurs nageurs – ou équipes - à la finale.

Si l’on compte sur de nouvelles médailles d’or de Florent Manadou, on espère retrouver Yannick Agnel, Jérémy Stravius le Picard et les relais en pleine forme !

Aux JO on retrouve également l’épreuve de natation en eau libre (mer ou eau douce) sur 10KM depuis 2008.

 

 

 

LA NATATION SYNCHRONISEE

 

L’épreuve est simple : des duos ou des équipes de huit nageurs font des présentations courtes en musique. Les juges évaluent différents aspects, dont la chorégraphie, la difficulté, la synchronisation et l´exécution des mouvements.

Les nageuses perdent des points si elles tardent à entrer dans la piscine, si elles utilisent le fond pour l’impulsion ou si elles n’exécutent pas la partie obligatoire.

Les épreuves en duo sont composées d’un programme imposé, technique, et d’un programme libre.

La somme des deux notes va définir les duos admis à la phase finale. Lors des finales, les nageuses sont libres de choisir leur présentation. L’épreuve par équipes se limite à la présentation des deux programmes et la somme des deux scores va déterminer les équipes victorieuses.

La France n’a remporté qu’une seule médaille de bronze dans cette discipline, en 2000 avec le duo Virginie Dedieu et Myriam Lignot.

 

LE PENTATHLON MODERNE

 

Discipline imaginée par Pierre de Coubertin pour le soldat parfait, le pentathlon moderne est présent depuis les Jeux de Stockholm de 1912.

Le sport comprend alors des épreuves de tir au pistolet, d’escrime, de natation, d’équitation et de course.

Ce sport était réservé aux hommes jusqu’aux Jeux de Sydney de 2000, avec son ouverture aux femmes.

D’autres changements sont introduits dans le but d’attirer le public : jusqu’en 1980, le pentathlon se déroulait sur cinq journées, avec une épreuve quotidienne. Désormais, toutes les épreuves – l’escrime, la natation, l’équitation et l’épreuve combinée (course et tir) – se jouent en un seul jour.

La compétition est disputée selon un système des points : l’ordre de départ de l’épreuve combinée (course et tir) est établi en fonction de la performance des athlètes aux épreuves précédentes. Le premier à terminer l’épreuve combinée remporte la compétition.

Depuis la retraite sportive d’Amélie Cazé en 2012, Elodie Clouvel, Christopher Patte de Noyon, Valentin Prades ou encore Valentin Belaud sont de vraies chances de médailles pour la discipline à Rio.

 

LE PLONGEON

 

En 1904, le plongeon fait son entrée au programme olympique, aux Jeux de Saint-Louis, aux États-Unis. Les femmes prennent part aux épreuves de plongeon dès les Jeux de 1912 à Stockholm.

Hommes et femmes participent à des épreuves de haut vol 10 mètres et de tremplin 3 mètres.

En 2000, les Jeux de Sydney voient l’entrée du plongeon synchronisé sur tremplin et sur plateforme.

La discipline consiste à s’élancer dans l’eau, d´une plateforme ou d´un tremplin, en exécutant des mouvements esthétiques pendant la chute jusqu´à entrer dans la piscine.

Chaque plongeon est évalué en fonction de critères techniques par des juges.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

LE RUGBY

 

Pierre de Coubertin qui a relancé les Jeux Olympiques  était un grand amateur de rugby et c’est en toute logique que ce sport sera présent aux Jeux de Paris en 1900. Le rugby ne sera pas au programme olympique en 1904 mais reviendra à partir de 1908 à Londres.

Ce sport n’est pas du goût de tous les membres du CIO, la retraite de Coubertin en 1925 et une bagarre mémorable entre les français et les américains aux Jeux de 1924 serviront de prétexte pour le retirer du programme.

 

Le rugby qui s’est considérablement développé sera de retour à Rio dans un format de jeu à 7 contre 7.

L’objectif est d’aller déposer un ballon oval dans le camp adverse pour marquer un essai ou d’envoyer ce ballon entre deux poteaux pour transformer l’essai ou marquer un « drop ».

 

L’EQUITATION

 

On retrouve 3 disciplines d’équitation aux JO : le saut d’obstacle, le dressage et le concours complet.

 

Pour le saut d’obstacle il s’agit d’enchaîner, dans le temps le plus court, un parcours avec 8 à 12 obstacles, y compris des barrières, des portes et des fossés.

Si le concurrent renverse des obstacles ou dévie de la trajectoire, ou bien encore s’il dépasse le temps, des pénalités sont ajoutées sur le score final.

 

L’épreuve sert à évaluer l’évolution du couple formé par le cavalier et sa monture ainsi que la capacité du cheval à répondre aux ordres reçus et à exécuter des figures spécifiques.

La performance est évaluée par sept juges, et le principal critère d’évaluation est la soumission de la monture au cavalier.

Le vainqueur est celui qui obtient le meilleur score, avec des notes entre zéro et dix.

Pendant la présentation, le cavalier ne peut émettre aucun son.

Les erreurs de parcours sont signalées par une cloche, et le nombre de points perdus est proportionnel au nombre de fautes. Ainsi, une première faute est pénalisée par deux points, une deuxième par quatre, et ainsi de suite.

 

Le concours complet qui regroupe ces 2 épreuves et le cross, où il faut franchir entre 42 et 45 obstacles situés en pleine nature.

 

LE TAEKWONDO

 

Le taekwondo est un art martial originaire de Corée en démonstration aux Jeux de Séoul 88, il ne devient sport officiel qu’en 2000.

Chaque combat dure trois rounds de deux minutes. Les participants portent un uniforme blanc et des protections pour la tête et le tronc, rouges et bleus. 

L´objectif est de frapper le tronc de l’adversaire avec des coups de pied et de poing dans les parties bleues et rouges, un coup de pied vaut un point ou deux, dans le cas d’un coup de pied circulaire. Un coup de poing vaut seulement un point. Pendant le combat, chaque athlète porte un plastron électronique qui mesure la puissance des coups de pied. Lorsqu’on atteint une certaine puissance, on marque un point, mais cela n’est valable que pour les coups de pied. Les coups de pied à la tête sont permis. Les infractions telles que l’utilisation des genoux, pousser ou tenir l’adversaire, les coups sous la ceinture ou frapper l´adversaire lorsqu´il est par terre sont interdites. Les compétitions dans les huit catégories de poids (quatre pour les hommes et quatre pour les femmes) se déroulent par élimination directe.

LE TENNIS

 

Le tennis est disputé en simples et en doubles masculins ou féminins, ainsi qu’en doubles mixtes. Les joueurs frappent la balle à l’aide d’une raquette pour la renvoyer, par-dessus le filet, dans le camp adversaire. Ils marquent un point quand l’adversaire ne parvient pas à relancer la balle dans la moitié de court opposée.

Au tennis, les matchs se jouent en manches (sets), qui se composent de jeux. Lors d’un jeu, les trois premiers points sont indiqués par 15, 30 et 40 et le point suivant termine le jeu. Le premier joueur à remporter six jeux avec une marge de deux jeux remporte le set. Si les joueurs sont à égalité 6/6 ils disputent un jeu décisif, en sept points, appelé tie-break.

Les matchs se jouent en deux sets gagnants– à l´exception de la finale du simple masculin, jouée en trois sets gagnants. Dans les doubles mixtes, si le match est à égalité 1/1, il y a un tie-break en dix points.

 

LE TENNIS DE TABLE

 

Les matchs sont divisés en manches, qui terminent lorsqu´un joueur atteint 11 points ou lorsqu’il y a égalité 10-10 entre les joueurs, celui qui marque deux points d´écart, remporte la manche.

En Tennis de Table, le serveur change tous les deux points – en cas d´égalité de 10 à 10, le service alterne à chaque point.

Les matchs en simple sont disputés en 4 manches gagnantes, tandis que dans les compétitions par équipes, d’un maximum de trois participants par équipe, il y a quatre manches en simple et une en double.

Lorsqu´un des deux adversaires remporte trois manches, il remporte le match.

Le système de compétition est éliminatoire, avec des vainqueurs qui disputent la médaille d´or et des perdants des demi-finales qui disputent le bronze. 

 

LE TIR

 

Aux Jeux Olympiques, trois types d´armes sont utilisés. 

Dans les compétitions à la carabine et au pistolet, les concurrents doivent atteindre une cible divisée en dix circonférences, à une distance de 10, 25 ou 50 mètres. 

En fonction de l’épreuve, les athlètes doivent tirer debout, agenouillé ou allongé. 

Avec le skeet, les tireurs visent des cibles mouvantes, lancées au dessus et devant eux.

Les règles dépendent de l´épreuve, de la distance, du type de cible, de la position du tir, du nombre de tirs et du temps dont chaque participant dispose pour tirer. 

Les épreuves sont divisées en phases de qualifications et en finales – le vainqueur est celui qui marque le plus de points.

 

Céline Goberville du club de Creil a remporté la médaille d’argent au tir à 10m aux Jeux de 2012.

 

 

 

LE TIR A L’ARC

 

Le Tir à l´Arc compte des épreuves individuelles et par équipes (composée par trois archers). 

L´objectif est simple : atteindre le plus près possible le centre d’une cible située à une distance de 70 mètres et ayant 1,22 mètres de diamètre. 

Celui avec la meilleure performance gagne.

Les flèches peuvent dépasser une vitesse de 240 kilomètres par heure, exigeant ainsi de l’archer une grande précision ainsi que de la force aux épaules, de la flexibilité musculaire, une bonne visée, la prise en compte du vent et surtout, de la tranquillité.

 

 

 

 

LE TRIATHLON

 

La première compétition officielle de ce sport n’a eu lieu qu’en 1974 aux USA !

Le Triathlon est entré au programme olympique des Jeux de 2000 à Sydney.

Qu’elle soit masculine ou féminine, l’épreuve de Triathlon, compte 1,5km de natation, 40km de vélo et 10km de course à pied dans cet ordre. 

Les athlètes ne disposent pas de temps de repos – les passages de la natation au cyclisme, et du cyclisme à la course à pied sont comptabilisés dans le temps total.

Pendant une épreuve, l´athlète ne peut recevoir aucune sorte d’aide, même en cas de crevaison, ni du dedans ni du dehors de la compétition, à l´exception de celle des volontaires qui distribuent de l´eau lors des ravitaillements tout au long du parcours.

 

LE VOLLEY BALL

 

Le volleyball est introduit aux Jeux Olympiques dès 1964, à Tokyo avec des compétitions masculines et féminines.

L´objectif du jeu est de faire tomber le ballon sur le terrain de l'équipe adverse. Les matchs de volleyball sont joués au meilleur de cinq sets. 

Les quatre premiers sets se jouent en 25 points ou avec un écart obligatoire de deux points.

Comme il n'y a pas de plafond, les équipes jouent jusqu'à ce que l'une d'elles atteigne cet écart.

Au cinquième set, c’est la même règle mais avec 15 points.

Il y a des défenseurs et des attaquants, selon la position occupée par les joueurs.

La seule exception est le libéro, qui occupe un poste défensif et remplace n’importe quel joueur de son équipe à n’importe quel moment. 

Pour être identifié, il doit porter un maillot différent de ses partenaires.

12 équipes s’affrontent. Les quatre meilleures équipes de chaque groupe se qualifient pour l´étape éliminatoire. 

 

L’équipe de France masculine est championne d’Europe mais n’est pas encore qualifiée pour Rio.

 

LE BEACH VOLLEY ou VOLLEY BALL DE PLAGE

 

Le volleyball de plage fait ses débuts olympiques aux Jeux de 1996 à Atlanta, avec des épreuves masculines et féminines.

Les matchs se jouent en 2 sets gagnants. Le comptage des points est identique à celui du volleyball, tout comme la dynamique des matchs : faire tomber la balle dans le camp adverse pour marquer un point.

Au volleyball de plage, toutefois, il faut 21 points pour gagner les deux premiers sets et 15 points pour gagner le set décisif. La hauteur du filet est de 2,43m pour les hommes et de 2,24m pour les femmes.

Les deux tournois débutent par une phase préliminaire avec 24 équipes.

Les vainqueurs de chaque poule disputent l´or et les vaincus des demi-finales disputent le bronze. 

 

LE WATER POLO

 

Chaque équipe est composée de 13 joueurs, dont sept se trouvent dans l’eau.

La piscine a des dimensions spéciales – 30 x 20m pour les hommes et 25 x 17m pour les femmes - avec une profondeur de deux mètres.

Les cages de but sont placées à chaque extrémité et mesurent trois mètres de largeur et 90 cm de hauteur au-dessus de la surface de l´eau.

L’objectif est de marquer plus de buts que ses adversaires.

Ce sport est très physique en raison des contacts et de la nécessité de rester tout le temps au dessus de la surface de l’eau pour recevoir et donner le ballon ou pour tirer au but.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

EVENEMENTS SPORTIFS

- Du mercredi 20 avril au mercredi 25 mai :

les CM découvrent l'escrime avec un maitre d'arme du BOUC escrime, ex-entraineur de Noyon pentathlon moderne, Antonin GIrard.

L'occasion de découvrir un nouveau sport et des déplacements originaux.

- Lundi 18 avril :

Cette fois, c'était au tour de Jimmy Casper, champion cycliste, de rencontrer les Classes Olympiques. Le sprinter au palmarès incroyable est revenu sur sa carrière, sur la spécificité des sprinters, sur ses plus grandes courses, sur ses victoires, sur ses chutes tout en délivrant plusieurs messages très importants aux élèves sur l'alimentation, sur la sécurité à vélo et sur le dopage.

Un grand merci à lui !

- Lundi 21 mars, 

Encore une belle journée pour les élèves de CM des Classes Olympiques Oise de Monchy St Eloi avec la découverte du tir sportif à Creil.
Les enfants ont été très bien reçus par Céline Goberville, vice championne olympique de tir à 10m, et Daniel Goberville, entraîneur et président du club.
Au programme : initiation au tir, concours de tir à la carabine, rencontre et discussion avec Céline Goberville, découverte des installations du club, diaporama sur le parcours olympique de la championne, défi de mots croisés olympiques et vidéo sur les athlètes français olympiques depuis 1896 !
Les élèves sont repartis très enthousiastes et motivés pour pratiquer à nouveau cette activité.
Un grand merci à Céline Gobi Goberville, Daniel Goberville, aux encadrants présents et à l'AS TIR de Creil, toujours présents pour les Classes Olympiques Oise depuis 2012 !
 
http://www.classes-olympiques-rio-oise-2016.fr/index.php

- Dimanche 31 janvier, les classes olympiques sont au championnat de Picardie de cross pour soutenir Thierry Guibault. Merci aux supporters !

CLASSES OLYMPIQUES RIOise 2016
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ARTICLES DE PRESSE

DES CLASSES OLYMPIQUES

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RENCONTRES D'ATHLETES

Tout au long de cette année scolaire, les élèves des classes olympiques rencontreront des athlètes de haut niveau.

Première rencontre, le mercredi 18 novembre, avec Maëva Contion, championne de France de 400 m haies, en course pour Rio. Un super moment pour tout le monde avec une athlète très sympathique et disponible !

Nos parrains de 2014, Céline Goberville et Christopher Patte lui avaient transmis le flambeau du parrainage des classes olympiques il y a quelques jours...

Retrouvez Maëva Contion, athlète de 400m haies, dans la rubrique "portraits d'athlètes"

Retrouvez Thomas Baroukh, champion d'aviron, dans la rubrique "portraits d'athlètes"

Retrouvez Thierry Guibault, athlète complet, dans la rubrique "portraits d'athlètes"

Retrouvez Guy Ontanon, entraineur de sprinteurs, dans la rubrique "portraits d'athlètes"

Retrouvez Laurent Hernu, décathlonien coach, dans la rubrique "portrait d'athlètes". 

Retrouvez Aurélie Scellier, joueuse de bowling handisport, dans la rubrique "portrait d'athlètes"

PORTRAITS D'ATHLETES

 

AURELIE SCELLIER:

 

 

Cette semaine les Classes Olympiques Oise de CP et CE de l'école Cauchois de Monchy St Eloi ont rencontré une athlète hors norme : Aurélie Scellier.
Venue en voisine, elle habite Monchy, Aurélie Scellier joue au bowling à haut niveau. Son objectif : rejoindre l'équipe de France...handisport, car Aurélie est malentendante.
Elle est donc venue rencontrer nos élèves pour parler de son sport, qui ne sera pas intégré au programme olympique avant 2020, mais aussi du handicap et de son handicap "invisible".
Elle a également fait une petite présentation de langue des signes aux élèves.
Nous la suivrons avec enthousiasme pour son projet sportif et nous la retrouverons pour une rencontre avec nos CM très bientôt !

 

JIMMY CASPER :

 

Questionnaire athlètes des classes olympiques :

 

  1. Pouvez-vous vous présenter rapidement ?

Je m’appelle Jimmy Casper j’ai presque 38 ans, je viens de la Somme, je suis marié et j’ai 2 enfants. Je suis ex-cycliste.

 

  1. Quelle était votre spécialité ?

Ma spécialité, c’était le sprint.

 

  1. Comment avez-vous découvert ce sport ?

J’ai découvert le vélo à l’école avec mes frères.

 

  1. Quel a été votre parcours pour devenir athlète de haut niveau ?

Petit à petit je suis monté dans les catégories en grandissant et comme j’avais de bons résultats j’ai été sélectionné en équipe départementale, puis régionale…puis en équipe de France.

 

  1. Qu’est-ce que vous aimez dans le sport ?

Ce que j’aime dans le sport c’est de gagner, de se dépasser, d’avoir mal aux jambes.

 

  1. Qu’est-ce que vous n’aimez pas dans le sport ?

Avoir mal aux jambes (rires !)

 

  1. Combien d’heures d’entrainement aviez-vous chaque jour/semaine ?

Je m’entrainais environ 60h par semaine et je faisais 30000KM par ans environs.

 

  1. Avec qui vous entraîniez-vous ?

Avec mon équipe de Nogent puis plus tard souvent seul ou avec d’autres cyclistes picards. On se donnait rendez-vous et on partait faire 150km ensemble. Après il fallait encore rentrer.

 

  1. Quelles sont les difficultés dans votre sport ?

Pour moi, la plus grosse difficulté c’était les concessions sur l’alimentation et l’hygiène de vie : pas de fêtes, pas de sorties…mais on s’habitue. Aujourd’hui, je vais ce que je veux et ça se voit, par contre je suis très stricte là-dessus avec mes jeunes cyclistes.

 

  1. Quel est votre palmarès ?

J’ai fait 7 tours de France, 2 tours d’Italie, 1 tour d’Espagne et environ 80 podiums sur des étapes, des courses ou des classiques, entre 1998 et 2012.

 

  1. Que ressentiez-vous en montant sur un podium ?

Beaucoup de satisfaction, de plaisir d’être reconnu par les médias et  ce sentiment du devoir accompli. Surtout pouvoir se dire que tous les efforts ont payé.

 

  1. Quel est votre meilleur souvenir en compétition ?

Je crois que c’est ma victoire d’étape sur le tour de France. On ne m’attendait pas sur cette édition et je n’y croyais plus.

 

  1. Quel est votre plus mauvais souvenir en compétition ?

Lors d’une étape du tour de France, j’ai été très malade la veille et ça a été très difficile, je suis arrivé 3 minutes hors-délai et j’ai demandé à être repêché mais les commissaires ont refusés.

 

  1. Que mangiez-vous pour préparer une compétition ?

C’est toujours la même chose : féculents, riz ou pâtes et viandes blanche. Parfois c’est difficile car parfois les cuisiniers des hôtels ne font rien pour rendre ces plats plus agréables.

 

  1. Comment viviez-vous une défaite, un échec ou une blessure ?

Sur le moment, c’est toujours difficile mais quand on analyse les raisons de l’échec ça ne peut que nous aider à progresser.

 

18) Que représentait le Tour de France pour vous ?

Pour être reconnu par le grand public et les médias, il faut avoir fait le tour de France. C’est un événement exceptionnel en soi.

 

19) Avez-vous déjà participé aux JO ?

Non, les épreuves sur route sont rarement pour les sprinters.

 

20) Que représentent les Jeux Olympiques pour vous ?

Les J.O. représentent plus une satisfaction personnelle, une fierté de représenter la France et pas une équipe professionnelle tandis que le tour de France sert plutôt à être reconnu du grand public et médiatisé.

 

 

22) Y-a-t-il des athlètes qui vous ont fait / font rêver ?

Mario Cipollini était mon idole quand j’étais jeune. Je me suis retrouvé à faire des sprints contre lui. Plusieurs années après sa retraite, je l’ai croisé dans un ascenseur d’hôtel et il m’a dit : « Jimmy, comment vas-tu ? », il connaissait mon nom, c’était énorme pour moi.

 

23) Que faites-vous aujourd’hui ?

Je suis directeur sportif pour l’équipe de l’armée de Terre de vélo.

 

 

Un grand merci des classes olympiques pour votre disponibilité.

Vous pouvez compter sur notre soutien !

CELINE GOBERVILLE:

 

Questions des classes olympiques à Céline Goberville :

 

1) Pouvez-vous vous présenter rapidement ?

Je m’appelle Céline Goberville, j’ai 29 ans, je pratique le tir depuis l’âge de 9 ans.

 

2) Quelle est votre spécialité ?

Ma spécialité, c’est le tir au pistolet à 10m ou à 25m.

 

3) Comment avez-vous découvert ce sport ?

Je suis née dans une famille de tireurs, c’était donc une évidence.

 

5) Y-a-t-il un autre sport qui vous plait ?

Je pratique aussi l’équitation à côté du tir, j’ai 2 chevaux.

 

6) Quel a été votre parcours pour devenir athlète de haut niveau ?

J’ai été sélectionnée dès 14 ans en équipe de France, je suis partie faire mes études au CREPS de Bordeaux, puis à l’INSEP à Paris.

 

7) Où pratiquez-vous votre discipline ?

Je pratique le tir au club de Creil et je participe également au championnat allemand avec une équipe de Stuttgart.

 

8) Qu’est-ce que vous aimez dans le sport ?

J’aime beaucoup la compétition, le perfectionnement du geste et de la technique pour être la plus performante.

 

9) Qu’est-ce que vous n’aimez pas dans le sport ?

Je n’aime pas me lever tôt pour les entraînements et je n’aime pas le côté répétitif de l’entraînement mais c’est indispensable pour progresser.

 

10) Combien d’heures d’entrainement avez-vous chaque jour/semaine ?

Je m’entraîne 3 heures par jour entre 3 et 5 fois par semaine.

 

11) Avec qui vous entraînez-vous ?

Je m’entraîne avec mon père et ma sœur.

14) Quel est votre palmarès ?

Une médaille d’argent aux JO de Londres, 6 médailles en coupe du monde (2 en or), 2 titres européens et 28 titres de championne de France.

 

15) Que ressentez-vous en montant sur un podium ?

C’est beaucoup de joie et de fierté surtout si on a droit à la Marseillaise.

 

16) Quel est votre meilleur souvenir en compétition ?

Sans aucun doute, c’est la médaille de Londres, c’était vraiment inattendu et j’ai profité pleinement de ce moment même si tout n’a pas été facile. C’était un peu une revanche suite à ma non qualification à Pékin 2008 et pour mon papa qualifié aux JO de Moscou en 1980 mais qui n’a pas pu participer à cause du boycott.

 

17) Que mangez-vous pour préparer une compétition ?

Je fais attention à ce que je mange tous les jours, il faut manger équilibré, il n’y a pas de régime particulier pour notre discipline, mais il faut éviter le sucre car ça accélère le rythme cardiaque.

 

18) Avez-vous des rituels, des gris gris ou des porte-bonheur pour une compétition ?

Non, j’évite d’en avoir parce que si un jour je le perds, je serai complètement désemparée. Par contre je fais souvent ma préparation dans le même ordre. Et puis à chaque compétition, tout est différent : le temps de trajet, la salle…

 

19) Comment vivez-vous une défaite, un échec ?

Sur le moment c’est toujours difficile, mais ça permet de savoir sur quoi il faut continuer de travailler.

 

22) Que représentent les Jeux Olympiques pour vous ?

C’est la fête du sport, la compétition ultime.

 

24) Y-a-t-il des athlètes qui vous ont fait / font rêver ?

Oui, il y a un tireur : Franck Dumoulin parce que c’est une personne très simple avec une capacité d’adaptation extraordinaire.

J’admire aussi Jérémy Stravius, le nageur, pour la difficulté de son sport et les efforts demandés.

 

26) Avez-vous des projets pour votre avenir ?

J’ai passé des diplômes de monitrice d’équitation et j’espère en faire mon métier, mais je ne sais pas à partir de quand car on peut pratiquer le tir très longtemps !

 

27) Avez-vous une anecdote sur les JO ?

Oui, j’ai rencontré Tony Parker au village olympique, malgré sa célébrité, il était comme un enfant le jour de Noël et il venait parler à tout le monde !

 

 

LAURENT HERNU :

 

1) Pouvez-vous vous présenter rapidement ?

Je m’appelle Laurent Hernu, je suis né à Creil en 1976 et je suis de Nogent, je suis un gars du cru comme on dit.

 

2) Quelle était votre spécialité ?

J’étais décathlonien, je faisais donc 10 disciplines de l’athlétisme sur 2 jours en général : 100m, 400m, 110m haies, 1500m, saut en hauteur, en longueur et à la perche et lancers : poids, disques et javelots.

 

3) Comment avez-vous découvert ce sport ?

En suivant mon papa sur les stades d’athlétisme.

 

4) Quel a été votre parcours pour devenir athlète de haut niveau ?

J’ai commencé tôt à faire de l’athlétisme. Au collège, je suis parti en apprentissage pour être maçon et je m’entrainais à côté. Je montais des maisons et je faisais du sport.

 

5) Où pratiquiez-vous votre discipline ?

A Nogent.

 

6) Qu’est-ce que vous aimez dans le sport ?

J’aime les challenges, le dépassement de soi et je suis surtout un dingue de sport.

 

7) Qu’est-ce que vous n’aimez pas dans le sport ?

Toutes les formes de tricherie.

 

8) Quelles sont les difficultés dans votre sport ?

Il faut enchaîner 10 épreuves différentes parfois c’est compliqué, c’est très exigeant et cela demande beaucoup de travail.

 

9) Quel est votre palmarès ?

J’ai participé 2 fois aux JO, à Sydney en 2000 (19ème) et à Athènes en 2004 (7ème).

J’ai fait plusieurs compétitions mondiales dont une 5ème place à Paris en 2003 et j’ai gagné plusieurs coupes d’Europe par équipe.

 

10) Que ressentiez-vous en montant sur un podium ?

De la joie et du plaisir, que le travail accompli a été payant.

 

11) Quel est votre meilleur souvenir en compétition ?

J’en ai 3, les 2 JO et Paris 2003, à 30pts du podium.

Les JO c’était une telle ambiance, je ne pensais pas arriver là un jour.

Mon plus grand regret c’est d’avoir raté la qualif pour Pékin 2008.

 

12) Que mangiez-vous pour préparer une compétition ?

Je faisais attention à ne pas manger trop gras ou trop sucré. Il suffit finalement de manger équilibrer tout le temps. Par exemple ça a été très difficile pour mon athlète Maëva Contion de faire attention à son alimentation car elle ne mangeait pas de légumes !

 

14) Comment viviez-vous une défaite, un échec ou une blessure ?

Chacun le vit de façon différente. Mais c’est compliqué d’écouter son corps, je me suis vraiment blessé pour la 1ère fois en 2007. Je ne pouvais plus m’entraîner et j’ai raté la qualification pour les Jeux de 2008.

 

16) Que représentent les Jeux Olympiques pour vous ?

C’était énorme, un rêve inattendu pour moi.

 

17) Que faites-vous aujourd’hui ?

Aujourd’hui, je travaille pour la mairie de Nogent sur Oise et le club d’athlé. Je suis entraîneur.

 

18) Comment en êtes-vous arrivé là ?

A la fin de ma carrière, j’ai passé différents diplômes pour devenir entraîneur.

 

19) Quel(le)s athlètes entrainez-vous et dans quelles disciplines ?

J’entraîne Maëva Contion sur 400m haies et Marie Gayot, championne d’Europe en relais 4x400m. 2 athlètes très différentes.

Cela fait presque 10 ans que j’entraîne Maëva !

J’entraîne aussi des athlètes plus jeunes.

 

20) Que ressentez-vous pour vos athlètes à l’entrainement, en compétition ou dans la vie de tous les jours ?

Je suis très attaché à mes athlètes. Je suis à leur écoute et à leur disposition. J’essaye de répondre à leurs besoins et de leur donner tout ce dont ils ont besoin pour réussir.

Quand un athlète gagne, on se dit que l’on a vu juste, mais dès le lendemain, il faut repartir à 0 et ce qui a fonctionné une fois ne fonctionne pas toujours.

Guy Ontanon

 

1) Pouvez-vous vous présenter rapidement ?

Guy Ontanon, professeur EPS détaché auprès de la fédération Française d’Athlétisme. Entraîneur national depuis février 2002 en charge des sprinters sur le pôle France de l’INSEP à Paris.

 

2) Quelle est votre spécialité ?

Ma spécialité à la base est le basket-ball et je me suis orienté sur l’athlétisme en 1989 avec une passion pour le triple saut et le sprint.

 

3) Comment avez-vous découvert cette discipline ?

En tant que collégien, puis lycéen et dans ma formation STAPS

 

4) Quel a été votre parcours pour arriver à ce niveau d’expertise ?

Tout d’abord, je suis un passionné de sport et l’athlétisme a été une révélation lorsque j’étais enfant en voyant Collette Besson devenir championne Olympique à Mexico en 1968. J’ai toujours aimé courir et surtout me mesurer au chronomètre et la vitesse reste tout de même l’épreuve reine des JO. J’ai étudié ensuite en STAPS, puis j’ai obtenu mon diplôme d’entraîneur expert sprint-haies puis mon D.E.S

 

5) Où travaillez-vous ?

INSEP bois de Vincennes

 

6) Avec quels athlètes avez-vous travaillé / travaillez-vous ?

Les plus connus, Christine Arron, Muriel Hurtis, Ronald Pognon premier français sous les 10’’, le relais champion du monde hommes à Helsinki en 2005, et actuellement Jimmy Vicaut recordman d’Europe du 100 m en 9’’86

 

7) Qu’est-ce que vous aimez dans le sport ?

Les émotions que çà procure et l’intensité des rapports qui se tissent aussi bien dans les sports collectifs qu’individuels

 

8) Qu’est-ce que vous n’aimez pas dans le sport ?

Les tricheries en tous genres, les personnes qui gravitent autour des sportifs pour les exploiter.

 

9) Comment se déroule un entrainement ?

Très classiquement à toutes les autres disciplines. On a un échauffement puis un thème ou objectif de cycle ou de séance et un retour au calme

 

10) Quelles sont les difficultés dans votre discipline ?

Les difficultés sont essentiellement dues aux individus qui veulent brûler trop vite les étapes. Il faut être patient et surtout appliquer ce que j’appelle la règle des trois « T ». C’est à dire que pour réussir, il faut tout d’abord avoir un minimum de « Talent », puis il faut du « TRAVAIL » et enfin il faut du « TEMPS ».

 

11) Quel est votre palmarès ou celui de vos athlètes majeurs ?

Je ne les compte pas, mais des médailles au plus haut niveau international ainsi que des titres mondiaux et européens.

 

12) Que ressentez-vous quand un de vos athlètes monte sur un podium ? La fierté de l’avoir aidé à aller au bout de ses rêves et d’avoir ainsi contribué à faire de lui ou d’elle un individu accompli aussi bien sportivement qu’humainement.

 

13) Quel est votre meilleur souvenir en compétition ?

Difficile d’en sortir un comme çà mais peut être le dernier avec le record d’Europe de Vicaut à Paris St Denis le 4 juillet dernier

 

14) Quel est votre plus mauvais souvenir en compétition ?

Les échecs de Christine Arron et Muriel Hurtis aux J.O d’Athènes en 2004.

 

15) Avez-vous des rituels, des grigris ou des porte-bonheur pour une compétition ?

Non pas du tout

 

16) Comment vivez-vous une défaite, un échec ou une blessure ?

Très difficilement. J’ai souvent tendance à culpabiliser et remettre mon travail en cause

 

17) Avez-vous déjà participé aux JO ?

Oui, Sydney, Athènes, Pékin, Londres et j’espère les prochains à RIO en août prochain

 

18) Que représentent les Jeux Olympiques pour vous ?

 Le Graal

 

19) Y-a-t-il des athlètes qui vous ont fait / font rêver ?

Carl Lewis, Bolt

 

20) Avez-vous une autre passion que le sport ?

La lecture, l’informatique et l’image par le biais de la photo ou de la vidéo

 

21) Quels sont vos projets pour l’avenir ?

Continuer de prendre du plaisir aussi longtemps que possible dans le sport et vivre mes émotions intensément

Thierry Guibault

1) Pouvez-vous vous présenter rapidement ?

Bonjour je m’appelle Thierry Guibault j’ai 41 ans, je suis né à Cognac (Charente, comme Renaud Lavillenie). Je suis moniteur de sport dans l’armée de l’air sur la base aérienne 110 de Creil sous-officier (adjudant). Je suis marié et père de 2 enfants, 5 et 6 ans ½ ? J’habite à Villers Saint Paul. Je suis dans l’Oise depuis 2005 et licencié à l’Entente Oise Athlétisme.

2) Quelle est votre spécialité ?

Ma spécialité, c’est l’athlétisme et plus particulièrement le demi fond. En athlétisme, il y a les épreuves courtes avec le sprint, moyennes, le demi fond, longues, le fond, les sauts et les lancers. J’ai commencé par le 3000m steeple, puis le cross et aujourd’hui je cours sur les distances du cross au marathon sur route.

3) Comment avez-vous découvert ce sport ?

Au collège, je faisais de l’Unss cross et mon prof de sports trouvait que je me débrouillais bien.

Ensuite j’ai rencontré avec le coach Patrick Bergeaud, le même que Renaud qui m’a fait progresser depuis cadet 2 (17 ans).

4) Depuis combien de temps pratiquez-vous votre sport ?

Je cours depuis 1991 donc depuis 25 ans.

5) Y-a-t-il un autre sport qui vous plait ?

De par mon métier je touche un peu à tous les sports. Je fais du cyclisme, du tennis, du badminton, du futsal, du biking et du triathlon.

6) Quel a été votre parcours pour devenir athlète de haut niveau ?

D’abord l’Unss, ensuite la Fédération Française d’Athlé, progressivement étape après étape. En 1997 j’ai gagné le championnat de France élite 3000m steeple. Ensuite, j’ai choisi d’entrer dans l’armée et de mettre de côté une carrière incertaine de sportif de haut niveau.

7) Où pratiquez-vous votre discipline ?

Je cours à Villers , en forêt d’Halatte et sur la base, c’est l’avantage de faire du running on peut en faire partout.

8) Qu’est-ce que vous aimez dans le sport ?

Le plaisir et le dépassement de soi, j’adore la compétition mais je suis très fairplay.

9) Qu’est-ce que vous n’aimez pas dans le sport ?

Ce que je n’aime pas c’est le dopage et la corruption mais malheureusement pour ma génération ces fléaux existent et il faut lutter contre ça. Dès qu’il y a de l’argent, il y a des tricheurs, on le voit dans le foot, l’athlétisme et en ce moment dans le tennis.

10) Combien d’heures d’entrainement avez-vous chaque jour/semaine ?

Je cours entre 1h et 2h par jour entre entrainement course à pied et activités professionnelles, soit entre 10 et 14 heures par semaine.

11) Avec qui vous entraînez-vous ?

Je suis souvent seul mais sur la base les mardis et jeudis j’ai un groupe d’athlètes d’environ 30 personnes.

12) Quelles sont les difficultés dans votre sport ?

C’est principalement les conditions météo et la régularité à l’entrainement. Contrairement aux sports co quand on est un peu moins en forme, on ne peut pas compter sur les autres.

13) Pratiquez-vous d’autres disciplines ?

En compétition non mais en complément et de par mon métier oui.

14) Quel est votre palmarès ?

8 x champions de France master en 2015 du cross au semi marathon, 5 x vainqueur du marathon du médoc, 3 x vainqueur du10km de l’Equipe, premier français au marathon de New-York. Depuis la semaine dernière, champion de France militaire de cross. Il y a quelques années j’ai fait champion du monde militaire de cross par équipe et vice champion d’Europe.

15) Que ressentez-vous en montant sur un podium ?

C’est une fierté et un plaisir de voir l’attitude de mes proches, parfois c’est une grosse émotion quand il y a l’hymne national avec l’équipe militaire ou quand mes enfants sont présents.

16) Quel est votre meilleur souvenir en compétition ?

Mon titre au sprint de champion de France de cross 2015 et ma victoire au dernier marathon du Médoc.

17) Que mangez-vous pour préparer une compétition ?

Je ne mange rien de particulier avant les courses inférieures au semi-marathon, mais je fais attention. J’évite le gras et le sucre. J’adore la viande rouge. Pour des grosses courses, je mange beaucoup de glucides et plus de crudités dans les 3 jours avant.

18) Avez-vous des rituels, des grigris ou des porte-bonheur pour une compétition ?

Non pas vraiment mais juste à mes tous débuts j’avais un slip noir fétiche et un short en jean Agassi. Aujourd’hui, je porte juste un bracelet que m’a fait ma fille.

19) Comment vivez-vous une défaite, un échec ou une blessure ?

Il faut toujours bien analyser l’échec, se poser les bonnes questions et ne pas avoir peur de se dire la vérité. Généralement je ne parle pas trop à l’issue de la compétition (j’ai mauvais caractère après une défaite) Pour les blessures je ne suis pas très patient mais il faut respecter son corps qui n’est pas fait pour courir pendant des heures.

20) Avez-vous déjà participé aux JO ?

Non, le niveau était trop élevé pour un amateur en athlé, il faut être sportif à plein temps.

21) Que représentent les Jeux Olympiques pour vous ?

C’était un rêve malheureusement ou heureusement pour ma vie actuelle j’ai choisi de m’engager dans l’armée de l’air, d’avoir un métier et une famille.

22) Y-a-t-il des athlètes qui vous ont fait / font rêver ?

Plus jeune comme beaucoup de monde, j’ai admiré les performances de Carl Lewis, aujourd’hui j’apprécie Renaud Lavillenie mais différemment car je suis plus proche de lui.

23) Avez-vous une autre passion que le sport ?

J’aime déguster des grands vins surtout du Médoc.

24) Avez-vous des projets pour votre avenir ?

J’aimerais créer une société de coaching et proposer des formules « course et dégustation de grands vins dans un petit vignoble du Médoc ( run & wine ) ».

Le mercredi 20 janvier 2016 a été un nouveau temps fort pour les élèves des classes olympiques RIOise 2016 de l’école de Monchy St Eloi avec la rencontre de Thierry Guibault.

L’athlète de l’Entente Oise Athlétisme est revenu sur son parcours sportif et sa formidable saison 2015 tout en répondant aux questions préparées par les élèves.

Les élèves ont pu faire connaissance avec Thierry Guibault qui s’est pris de passion pour l’athlétisme dès son entrée au collège. Malgré ses performances prometteuses notamment sur 3000m steeple, il a expliqué aux élèves qu’il avait choisi de sacrifier une carrière sportive incertaine pour devenir professeur de sport dans l’armée tout en continuant à s’entrainer.

L’athlète qui a tout gagné en 2015 dans sa catégorie master, du championnat de France de cross au championnat de France de semi-marathon en passant par une victoire au marathon du Médoc et la place de 1er français au marathon de New-York a également évoqué l’importance de l’entrainement, de l’alimentation mais aussi des études dans la vie d’un sportif.

C’est sans regret qu’il a expliqué que les Jeux Olympiques avaient été un rêve pour lui mais qu’il avait choisi une autre voie.

Il a évoqué également l’émotion qu’il ressent encore en montant sur un podium malgré toutes ses victoires, surtout quand ses enfants sont parmi les spectateurs !

Thierry Guibault a également rappelé aux enfants que si le sport peut être beau et bon, il ne faut pas oublier que malgré le grand nombre d’athlète français, très peu vivent de leur passion, que le dopage et la corruption étaient des fléaux contre lesquels il fallait lutter.

L’athlète a également pris le rôle de professeur de mathématiques en faisant calculer aux élèves sa vitesse de course sur ses distances de prédilection, c’est très impressionnés que les élèves se sont rendus compte qu’il parcourait le 10Km à la vitesse de 20Km/h contre 12Km/h pour les meilleurs élèves…sur 2Km !

L’entretien s’est terminé par une présentation de quelques trophées, dossards, souvenirs de courses et photos du coureur qui a également remis aux élèves plusieurs cadeaux : photos dédicacées, pin’s, posters, autocollants…

Comme les classes olympiques, n’hésitez pas à soutenir Thierry Guibault pour le championnat de Picardie de cross le dimanche 31 janvier à St Leu d’Esserent.

 

Maëva Contion

 

  1. Pouvez-vous vous présenter rapidement ?

Je m’appelle Maëva Contion, j’ai 23 ans et je suis athlète de 400m haies au club d’athlétisme de Nogent sur Oise.

 

  1. Comment avez-vous découvert ce sport ?

J’ai découvert ce sport en collège suite à un test d’endurance avec mon prof de sport.

 

  1.  Quel a été votre parcours pour devenir athlète de haut niveau ?

J’ai fait de la natation, du tennis avant de me consacrer entièrement à l’athlétisme. Petit à petit j’ai gagné des courses, puis j’ai été sélectionnée en équipe de France.

 

  1. Qu’est-ce que vous aimez dans le sport ?

Ce que j’aime c’est l’effort, le dépassement de soi.

 

  1. Combien d’heures d’entrainement avez-vous chaque jour/semaine ?

Je m’entraîne environ 2h30 par jour, parfois plus, parfois moins. Des fois je fais 2 entraînements dans la journée 7fois par semaine.

 

  1. Avec qui vous entraînez-vous ?

Je m’entraîne avec Laurent Hernu, ancien décathlonien qui a participé 2 fois aux Jeux Olympiques.

 

  1. Pratiquez-vous d’autres disciplines ?

J’ai pratiqué le pentathlon en salle, je fais aussi du relais pour les inter-club.

 

  1. Quel est votre palmarès ?

Je suis championne de France élite de 400m haies et j’ai terminé 3ème aux championnats d’Europe juniors.

 

  1. Que ressentez-vous en montant sur un podium ?

Quelque soit la marche sur laquelle je monte, la sensation est toujours la même : c’est de la fierté, une récompense pour les efforts fournis, une pensée pour tous ceux qui me soutiennent et parfois aussi des leçons pour la suite !

 

  1. Quel est votre meilleur souvenir en compétition ?

Sans hésiter, c’est la médaille des championnats d’Europe. J’étais venue pour découvrir, j’ai fait une erreur sur une haie en début de course mais je me suis dis « t’es comme les autres, t’as toutes tes chances », alors j’ai continué ma course, je voyais que les autres filles fatiguées et petit à petit je suis remontée.

 

  1. Que mangez-vous pour préparer une compétition ?

Je mange léger, cela dépend de l’heure de ma course. Si je cours en début d’après-midi, je peux prendre un énorme petit-déjeuner. Je fais assez attention à ce que je mange, je prends beaucoup de fruits et de légumes et j’évite les sucreries et le Mac Do.

 

  1. Avez-vous des rituels, des gri gri ou des porte-bonheur pour une compétition ?

Non, mais je cours souvent avec la bague de ma maman.

 

  1. Comment vivez-vous une défaite, un échec ou une blessure ?

Une contre performance, c’est pour moi une leçon pour l’avenir. Une blessure, c’est plus compliqué, chacun le vit de façon différente. J’ai été blessée en 2014, je me suis reblessée plusieurs fois en reprenant trop tôt, il faut être patient et ça c’est dur.

 

  1. Participerez-vous aux Jeux Olympiques de Rio ?

J’espère ! Je travaille pour cela, il faut maintenant que je réalise les temps de qualification de la fédération française.

 

  1. Que représentent les Jeux Olympiques pour vous ?

Les Jeux Olympiques, c’est la plus belle compétition du monde.

 

  1. Y-a-t-il des athlètes qui vous ont fait / font rêver ?

Il y avait Marie-José Pérec, une athlète française extraordinaire.

  1. Avez-vous une autre passion que le sport ?

J’aime bien la mode et les photos.

 

  1. Avez-vous des projets pour votre avenir ?

J’ai des objectifs en athlétisme mais je continue mes études en entrainement sportif pour pouvoir rejoindre après une école de kiné. Je pense qu’il est très important de se donner des portes de secours pour la suite, cela rassure.

 

Un grand merci des classes olympiques pour votre disponibilité.

Vous pouvez compter sur notre soutien !

 

Thomas Baroukh

1) Pouvez-vous vous présenter rapidement ?

J’ai 28 ans, je mesure 1m84 et pèse 70kg. Je suis ingénieur diplômé de l’Ecole Centrale Paris, salarié chez ERDF (filiale de distribution du groupe EDF) depuis 2010, bénéficiant d’un contrat spécifique au sportif de haut niveau, qui me permet de mener de front ces 2 projets, professionnel et sportif.

 

2) Quelle est votre spécialité ?

Je fais de l’aviron, en plus précisément de la pointe (une seule rame par personne) dans un bateau avec 4 rameurs, le quatre sans barreur poids légers. Cela signifie que les rameurs ne doivent pas peser plus de 72,5kg et que la moyenne de poids de l’équipage ne doit pas dépasser 70kg.

 

3) Comment avez-vous découvert ce sport ?

Par mon frère, il a commencé l’aviron un an avant moi et m’a fait découvrir le club et son ambiance.

 

4) Depuis combien de temps pratiquez-vous votre sport ?

J’ai commencé à la fin de l’année 1998.

 

5) Y-a-t-il un autre sport qui vous plait ?

J’apprécie de très nombreux sports et je les pratique dès que j’en ai l’occasion, pas assez souvent à mon goût !

 

6) Quel a été votre parcours pour devenir athlète de haut niveau ?

J’ai commencé par ramer au sein de mon club jusqu’à mon bac, j’ai ensuite mis cette activité entre parenthèses pendant mes 2 ans de classes préparatoires pour passer les concours d’entrée aux grandes écoles d’ingénieur. Une fois rentré à l’Ecole Centrale de Paris (l’une des 3 meilleurs écoles française), j’ai repris l’entrainement progressivement et j’ai finit par être sélectionné en 2009 en équipe de France moins de 23 ans, puis Senior.

 

 

 

7) Où pratiquez-vous votre discipline ?

Lorsque je m’entraine dans mon club, je rame sur le Grand Canal du Château de Versailles, et lors de nos stages avec l’équipe de France, nous allons souvent sur le lac d’Aiguebelette (où se sont déroulés les championnats du monde 2015), à Lyon ou dans le Jura.

 

8) Qu’est-ce que vous aimez dans le sport ?

Etre dehors, dans un environnement calme, profiter de la glisse du bateau, l’ambiance au sein de mon club, les moments de partage avec mes coéquipiers…

 

9) Qu’est-ce que vous n’aimez pas dans le sport ?

Pas grand-chose ! Les entrainements lorsque les conditions climatiques sont difficiles : vent et froid…

 

10) Combien d’heures d’entrainement avez-vous chaque jour/semaine ?

Je m’entraine entre 10 et 12 fois par semaine, ce qui représente près de 20 heures d’entrainement effectif, et cela prend environ 35 heures tout compris.

 

11) Avec qui vous entraînez-vous ?

Je fais quasiment la moitié de mes entrainements seul, et l’autre avec mes coéquipiers d’équipe de France, sans oublier mes coéquipiers de club qui me voit de façon épisodique à cause de mon emploi du temps chargé !

 

12) Quelles sont les difficultés dans votre sport ?

Il faut aimer beaucoup s’entrainer, et accepter que la progression soit lente et discontinue.

 

13) Pratiquez-vous d’autres disciplines ?

Dans le cadre de mon entrainement, je fais du vélo, de la course à pied, de la natation et du ski de fond. Dès que l’occasion se présente j’essaie de pratiquer des sports collectifs.

 

 

 

14) Quel est votre palmarès ?

Il commence à s’étoffer !!

Je suis 2 fois champion de France, 2 fois médaillés de bronze aux championnats d’Europe (2013, 2014) et vice champion d’Europe (2015), 2 fois médaillés de bronze en coupe du monde (2010 et 2015), médaillé de bronze aux championnats du monde 2015 et 7ème aux Jeux Olympiques de 2012.

 

15) Que ressentez-vous en montant sur un podium ?

En général, beaucoup de fatigue !! Ce qui fait que je ne pense pas à grand-chose, je profite juste du moment et de la satisfaction d’avoir fait une bonne course, quand cela est le cas !

 

16) Quel est votre meilleur souvenir en compétition ?

Mon premier titre de champion de France, en 2012, à Mantes la Jolie. Cette compétition s’est parfaitement déroulée, dans d’excellentes conditions météo, et nos proches avaient pu faire le déplacement pour fêter ce moment avec nous.

 

17) Que mangez-vous pour préparer une compétition ?

Etant poids léger, la question de l’alimentation est cruciale : il faut à la fois veiller à respecter la limite fixée et en même temps être sur de disposer de l’énergie nécessaire pour être à 100% pour la course. Une alimentation équilibrée est primordiale, pour nous comme pour tout le monde finalement !

 

18) Avez-vous des rituels, des grigris ou des porte-bonheur pour une compétition ?

Non, pas de rituels, juste une liste de choses à faire et à emporter pour être sur de ne rien oublier

 

19) Comment vivez-vous une défaite, un échec ou une blessure ?

La blessure est un moment très délicat à gérer : nous avons très vite envie de reprendre le chemin de l’entrainement, mais il faut laisser au corps le temps de se réparer. On tourne en rond, en ayant l’impression de perdre du temps. C’est très difficile mentalement.

L’échec est bien différent : une fois la phase d’analyse passée, pour en comprendre les raisons, il me redonne très rapidement l’envie de retourner m’entrainer encore plus dur pour être encore meilleur la fois d’après.

 

20) Avez-vous déjà participé aux JO ?

Oui, à Londres en 2012, nous avons terminé 7ème en remportant la finale B, nous sommes donc considérés comme finaliste olympique (8 premiers équipages)

 

21) Participerez-vous aux Jeux Olympiques de Rio ?

C’est l’objectif de cette saison, mais la sélection ne devrait être faite qu’au mois d’Avril, en attendant il faut s’entrainer !

 

22) Que représentent les Jeux Olympiques pour vous ?

C’est l’objectif ultime dans mon sport. Cette compétition n’a lieu que tous les 4 ans, c’est donc l’aboutissement de 4 années d’investissement, d’efforts et de sacrifice, il faut être prêt le jour J et ne pas se rater… L’aspect médiatique vient après, et malheureusement tout n’est pas aussi parfait qu’il n’y parait…

 

23) Y-a-t-il d’autres athlètes dans votre famille ?

Non je suis le seul, même si mon frère est assez sportif.

 

24) Y-a-t-il des athlètes qui vous ont fait / font rêver ?

Pas vraiment, car je ne me suis jamais vraiment dit que je pouvais atteindre ce niveau lorsque j’étais jeune…

 

25) Avez-vous une autre passion que le sport ?

J’aime beaucoup les sciences, et plus généralement comprendre le fonctionnement de ce qui m’entoure. C’est un trait de caractère qui va bien avec l’aviron, qui demande beaucoup de rigueur !

 

26) Avez-vous des projets pour votre avenir ?

Je pense poursuivre ma carrière jusqu’en 2020 et les Jeux Olympiques de Tokyo, ensuite je me consacrerai entièrement à ma vie professionnelle. Ce sera un nouveau départ !

PHOTOS DES ATHLETES CLASSES OLYMPIQUES

CLASSES OLYMPIQUES RIOise 2016
CLASSES OLYMPIQUES RIOise 2016
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CLASSES OLYMPIQUES RIOise 2016
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CLASSES OLYMPIQUES RIOise 2016
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CLASSES OLYMPIQUES RIOise 2016
CLASSES OLYMPIQUES RIOise 2016
CLASSES OLYMPIQUES RIOise 2016
CLASSES OLYMPIQUES RIOise 2016
CLASSES OLYMPIQUES RIOise 2016
CLASSES OLYMPIQUES RIOise 2016
CLASSES OLYMPIQUES RIOise 2016
CLASSES OLYMPIQUES RIOise 2016
CLASSES OLYMPIQUES RIOise 2016
CLASSES OLYMPIQUES RIOise 2016
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CLASSES OLYMPIQUES RIOise 2016
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CLASSES OLYMPIQUES RIOise 2016
CLASSES OLYMPIQUES RIOise 2016
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Participations sportives 2015 2016

 

Après une participation au défi endurance académique, une participation à l'opération Basket à l'école autour de l'Euro 2015 et un TAP coupe du monde de rugby 2015, les classes olympiques ont effectuées leur première sortie sportive le mercredi 14 octobre.

Les élèves de CM1 et CM2 ont participé au cross du collège de Villers St Paul avec d'autres classes de Villers et les élèves de 6ème.

Tout les élèves ont donné le meilleur d'eux même et ont tous bouclés le parcours d'un peu plus d'un kilomètre.

Au final, 4 médailles sur 6 possibles :

- 2ème et 3ème place chez les filles

- 1er et 2ème place chez les garçons (avec les 2 premières places du classement général)

Bravo à tous et merci aux accompagnateurs et aux organisateurs.

 

 

Dans le cadre des classes olympiques et après leur rencontre avec Maëva Contion, championne de 400m haies, les sportifs en herbe de l’école Cauchois de Monchy St Eloi et de Jean Cassé de Thiverny ont participé au trail des rochers de Nogent sur Oise organisé par le club d’athlétisme NOA, le samedi 5 décembre. C’est sur un parcours de 900m que plus de 70 enfants se sont amusés à courir de nuit, équipé de lampes frontales et de bâtonnets lumineux.

A l’arrivée, pas de classement mais un beau cadeau et un bon chocolat chaud pour tous les enfants.

Après une initiation au tir sportif avec céline Goberville en mars, les élèves des classes olympiques ont testé le tir à l'arc grandeur nature avec les archers de Compiègne !

CLASSES OLYMPIQUES RIOise 2016
CLASSES OLYMPIQUES RIOise 2016
CLASSES OLYMPIQUES RIOise 2016
CLASSES OLYMPIQUES RIOise 2016
CLASSES OLYMPIQUES RIOise 2016
CLASSES OLYMPIQUES RIOise 2016
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CLASSES OLYMPIQUES RIOise 2016
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